La CEDH juge que les autorités judiciaires italiennes ont manqué à leur devoir dans un cas de violences conjugales en tardant à tenir des audiences, en minimisant les risques de violence et en ne tenant pas compte, dans le cadre de l’enquête pénale, du problème spécifique de la violence domestique.
L’affaire concerne des violences domestiques subies par une femme pendant neuf mois à la suite de sa rupture avec son compagnon. La requérante soutient (...)Cet article est réservé aux abonnés