Concernant la Plateforme des données de santé, hébergée par une filiale américaine, le courrier envoyé par le ministre de la Santé ne révèle pas une décision ayant abandonné la volonté de trouver une solution d'hébergement alternative française ou européenne.
Plusieurs sociétés et administrés ont demandé au Conseil d'Etat d'annuler pour excès de pouvoir la décision par laquelle le ministre chargé de la Santé a renoncé à adopter une nouvelle (...)Cet article est réservé aux abonnés